dimanche 7 avril 2024

chapelle des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem

La chapelle de Saint-Jean de Jérusalem d’Epinal rattachée à la commanderie de Robécourt. Elle est une première fois mentionnée en 1194, puis en 1240 dans une charte où il est clairement fait mention des « frères de la maison hospitalière » et est parfaitement localisée, en 1455, dans le faubourg Saint-Michel, près de la porte de la Fontaine. La première indication sur l’existence d’un hôpital date de 1498, comme celle du cimetière qui le jouxte, dans lequel sont « portés en terre ceux du faubourg de la porte de la Fontaine ». L’ensemble était doté d’une chapelle explicitement mentionnée en 1516. Elle existe toujours en 1793 mais ne figure plus sur le cadastre napoléonien en 1818.


chapelle Saint-Jean dans la maquette de la ville

Des fouilles archéologiques, réalisées en 2000, lors de l’aménagement du parking de la rue d’entre-les-deux-portes et du rond-point, ont permis d’observer les vestiges de la nef de la chapelle, de maisons médiévales et du cimetière dont une trentaine de sépultures. Inclus dans la masse bâtie, le chœur était la dernière partie encore visible de cet édifice qui conservait, en dépit de quelques aménagements, toutes les caractéristiques architecturales et esthétiques de l’époque romane.


En 2018 la ville d'Epinal décide de créer un parking de 200 places sur son emplacement.



Les vestiges sont intégrés dans le nouveau bâtiment




crédence ou piscine, servant de lavabo
conservé au musée du Chapitre

Mosaïque de Saint-Nicolas

céramique de Saint-Nicolas elle est réalisée par Jean et Geneviève Hutin en 1967, elle se trouve rue François Blaudez

Children's corner

 

"Les Alliances" place Schwaebisch hall

la place prend ce nom en 1990 pour marquer le jumelage d'Epinal avec Schwäbisch Hall depuis 1964. Une sculpture 2 cercles imbriqués appelées "les Alliances". Elle comporte un cadre vitré avec 2 images d'Epinal recto-verso d'Antonio Gacia, l'une représente "la chute du mur de Berlin" et l'autre "mur de Berlin, réunification" un morceau du mur de Berlin ce trouve contre cette lithographie. En 2014 un banc en « Muschelkalk » provenant de la carrière locale de Crailsheim est placé cadeau de Schwäbisch-Hall pour les 50 ans de jumelage des deux villes.





morceau du mur de Berlin

Stèle commémorative 5 F.F.I. du Bois de la Vierge

 



Conseil Départemental des Vosges

En 1790 à la Révolution, le royaume de France est divisé en 83 départements. Le département des Vosges est créé en le 9 février 1790 et le 1 juillet, 36 élus furent choisis par l'assemblée électorale des Vosges pour former le premier conseil général, avec à sa tête Louis-Dagobert Vosgien.

1848 : La IIe République, en instaurant le suffrage universel, prévoit donc que chaque canton élira désormais un conseiller.

1982 : Avec les lois de décentralisation, le conseil général, reconnu par la Constitution française du 4 octobre 1958, devient une collectivité territoriale à part entière : lui sont alors transférés un certain nombre de compétences de l'État et le prélèvement de l'impôt lui est autorisé, afin d'en assurer une redistribution selon les politiques votées par l'assemblée départementale. La tutelle de l'administration préfectorale est supprimée. Désormais, le président du conseil général a toute autorité pour la préparation et la mise en œuvre de son budget.

À la suite des élections départementales françaises de 2015, le conseil général est renommé « conseil départemental ».





Mémorial des attaques du 11 septembre 2001

 

Statues de joueurs de La Crosse

offert par la ville de Crosse aux Etats-Unis à l'occasion des 30 ans de jumelage entre les 2 villes. Le monument représente trois Indiens d’Amérique jouant à la crosse, il se trouve au port d'Epinal



Place Pinau


Au croisement des rues de Rualménil, de la Porte et d'Aubert se trouvait une pyramide surmontée d'une déesse jusqu'en 1604 et sa base une fontaine à auges en bois puis bassin d'Airain.


le carrefour avec en son centre le pinau
d'après le tableau de Nicolas Bellot

Après 1604 la déesse est remplacée par une copie en pierre d'une œuvre antique achetée en 1606 par la ville et devait la symboliser, rapidement la sculpture prend le nom de Pinau, le mot Pinau est dérivé de "Spina" épine, nom de la manse qui se trouvait au pied du château d'Epinal.

En 1825 une nouvelle copie de la statue "le tireur d'Epine" est réalisée par Jules Laurent sculpteur et conservateur du musée d’Épinal. la sculpture est placé sur une colonne avec une fontaine


La statue a aussi donné son nom à un journal satirique publiée en 1896 : Le Pinau-Journal et utilisé aussi pour des publicitées et affiche.




Pendant la 2ème guerre tout le quartier est détruit mais la statue reste sur sa colonne, malheureusement le 14 septembre 1944, un camion allemand accroche le piédestal de la colonne, le dos de statue est arraché dans sa chute, les pompiers sauveront la statue, qui est déposé dans un salon de la mairie de la ville.


la statue au milieu des ruines et juste avant sa propre chute

Une nouvelle copie est mise en place dans le nouveau square d'abord sur un socle puis de nouveau sur une colonne


En septembre 2007, la ville d’Épinal a offert à la ville de La Crosse, dans le cadre de son jumelage, une copie de cette statue en échange d'une autre sculpture Lacross Players inaugurée le 13 octobre 2007.  La nudité de Pinau a alors déclenché une polémique néanmoins le tireur d’épine n’a pas été modifié.

Spinario

l'original est une sculpture en bronze exposée dans la salle des Triomphes du Palais des Conservateurs à Rome et datée du Ier siècle av. J.-C. Un jeune garçon ôtant une épine de son pied, le thème se retrouve dans des représentations de Pan et de satyres et rattache donc le garçon à l'univers de Dionysos.

Autrefois placé devant le palais du Latran. Sa présence est attestée depuis le XIIe siècle à Rome. La statue fut offerte à la ville de Rome par le pape Sixte IV en 1471. Prise par Napoléon dans son butin de guerre et gardée au Louvre de 1798 à 1815, à la chute de Napoléon, elle est restituée par Louis XVIII aux États pontificaux. Le pape Pie VII mis le Tireur d'épine dans la Salle des Triomphes du Palais des Conservateurs, aujourd'hui partie des Musées Capitolins

Rue du Pasteur Boegner (ancien nom : rue du Cours, rue Sadi-Carnot)

N°3 actuelle banque HSBC avant banque de Mulhouse puis Crédit Municipal



Rue Parmentier

N°5 : demeure Art Déco conçue par l'architecte André Desenclos en 1913, son étude participera aussi au plan du collège Georges Clémenceau

Rue Parmentier

N°3 : demeure par l'architecte Louis Deschler


Rue du Palais de Justice

 

Rue Notre Dame de Lorette

 


Réservoir

Rue des Noires Halles


Rue de Nancy

N°49 : école Paul Emile Victor

Rue de Nancy

N°35 : Immeuble de 1913 de l'architecte Louis Deschler, la mairie du Val d'Ajol vient de lui aussi

Rue de Nancy

N°15 : immeuble de 1908 Art nouveau de l'architecte Joseph Honecker 1873-1942, Il a fait partie du courant de l'École de Nancy. Il participa à la reconstruction de l'opéra de Nancy



Gare de Metz

  Elle est inaugurée en 1908 par la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine, elle remplace l'ancienne gare...